2016
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Égypte: Action lettre pour Ibrahim Ezz el Din Préoccupations pour la santé d'un prisonnier d'opinion
Ibrahim Ezz el Din, est détenu de façon arbitraire depuis juin 2019. Amnesty International le considère comme un prisonnier d’opinion, détenu uniquement en raison de ses activités en faveur des droits humains. La santé d'Ibrahim Ezz el Din s'est détériorée en prison. -
Égypte Les droits humains foulés aux pieds dans les prisons
Les autorités pénitentiaires égyptiennes soumettent des personnes incarcérées pour délit d'opinion ou pour des motifs politiques à des actes de torture et à des conditions de détention cruelles et inhumaines. Torture, mauvais traitements et refus de dispenser des soins médicaux ont contribué à des morts en détention et à des atteintes irréversibles à la santé de détenus. -
Répression en Égypte La diplomatie suisse doit faire preuve de courage
Amnesty International salue la libération des trois militants des droits humains, qui avaient été arbitrairement arrêtés en Égypte en lien avec une rencontre à laquelle participait un diplomate suisse. L’organisation exige que la diplomatie suisse assume ses responsabilités et continue à s’engager, ce également publiquement, pour la sécurité et les droits de ses partenaires. -
Action Lettre Égypte Répression contre l'Initiative égyptienne pour les droits de la personne (EIPR)
Entre le 15 et le 19 novembre 2020, les forces de sécurité égyptiennes ont arrêté Mohamed Basheer, Karim Ennarah et Gasser Abdel-Razek, cadres du personnel de l’Initiative égyptienne pour les droits de la personne (EIPR), une ONG égyptienne indépendante de défense des droits humains. Ils sont maintenus en détention arbitraire dans l’attente des conclusions d’enquêtes sur des accusations infondées, notamment de «terrorisme», engagées uniquement à titre de représailles pour le travail de défense des droits humains de l’EIPR. -
Égypte Mettre fin aux représailles contre les organisations de défense des droits humains
Les autorités égyptiennes doivent mettre fin à la campagne de représailles visant l’Initiative égyptienne pour les droits de la personne (EIPR) et libérer immédiatement et sans condition trois dirigeants du groupe détenus de manière arbitraire, a déclaré Amnesty International le 20 novembre 2020.
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