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Manifestations en Irak Violente répression des forces de sécurité - plus de 600 morts
Le nombre de morts lors des manifestations en Irak a continué à augmenter en raison de la répression brutale menée par les forces de sécurité. On compte désormais plus de 600 morts depuis le début des manifestations en octobre dernier. Rien que cette semaine, 12 décès ont été signalés. Amnesty International a vérifié des comptes rendus et des vidéos sur l'utilisation de munitions réelles et de grenades lacrymogènes tirées directement sur la tête des manifestants. Une fois de plus, ces derniers jours, de nombreuses personnes ont été blessées ou arrêtées, et certaines ont été torturées ou maltraitées en détention. -
Irak Des manifestants tués au cours d’une offensive des forces de sécurité
Différentes unités des forces de sécurité ont chargé les manifestants dans la ville irakienne de Nassiriya au cours de la nuit et jusqu’au matin du 28 novembre, tuant au moins 25 manifestants et en blessant de nombreux autres, a confirmé Amnesty International après avoir interrogé des témoins et vérifié une dizaine de vidéos et d’images de la scène. -
Irak Les autorités doivent éviter le bain de sang
Après la mort d'au moins six manifestants dans le centre de Bagdad lors d'une opération policière menée le 9 novembre 2019 pour évacuer les manifestant·e·s de plusieurs ponts et rues près de la place Tahrir, les autorités doivent prendre des mesures immédiates pour contenir les forces de sécurité, a déclaré Amnesty International. -
Irak Durcissement de la répression contre les manifestants: tirs de snipers et intimidations
Les forces de sécurité irakiennes recourent de plus en plus à une force excessive et meurtrière contre les manifestants antigouvernementaux, ce qui doit faire l’objet d’une enquête digne de ce nom, a déclaré Amnesty International après avoir interrogé huit témoins qui ont vu des manifestants tomber sous les tirs des snipers. -
Irak Les Yézidis laissés sans terres cultivables par l'État Islamique
Dans le cadre de sa violente campagne menée contre la minorité yézidie dans le nord de l’Irak, le groupe armé se désignant sous le nom d’État islamique (EI) a commis des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité en sabotant les puits d’irrigation et en détruisant les infrastructures agricoles.
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