La défenseuse des droits humains Narges Mohammadi, emprisonnée, avait montré des symptômes de la maladie COVID19. Elle a été libérée de manière anticipée de sa détention.
Depuis son transfert forcé de la prison Evin de Téhéran à la prison de Zanjan le 24 décembre 2019, Narges Mohammadi s'est vue délibérément refuser des soins de santé, bien qu'elle souffre d'une maladie pulmonaire préexistante et d'un système immunitaire affaibli suite à une opération.
Après le 29 juin 2020, elle a montré des symptômes de la maladie COVID19 tels que la toux, l'essoufflement, des douleurs musculaires et articulaires et la perte de l'odorat. Malgré la détérioration de son état, les autorités ont continué à lui refuser des soins de santé et ne lui ont donné aucune information sur les résultats d'un test effectué le 8 juillet.