Documents
-
Action lettre terminée - Iran Arrêté à 17 ans, il risque d’être exécuté
Le jeune Iranien Hossein Shahbazi risque d’être exécuté de manière imminente pour un crime qui s’est déroulé alors qu’il n’avait que 17 ans. Son procès a été entaché de graves violations des droits humains, notamment l’utilisation d’«aveux» extorqués sous la torture. -
Action lettre terminée - Iran Exécution de Arman Abdolali et Hossein Shahbazi
Arman Abdolali et Hossein Shahbazi, deux jeunes Iraniens, risque d’être exécutés pour des crimes qu'ils auraient commis alors qu'ils étaient mineurs. Leurs procès ont été entachés de graves violations des droits humains, notamment l’utilisation d’« aveux » extorqués sous la torture. Après un tollé international, les autorités iraniennes ont reporté l'exécution de Arman Abdolali à quatre reprises en octobre 2021. Elle a maintenant été fixée au 3 novembre. -
Iran Le meurtre d’un homosexuel met en lumière les dangers qu'induit l’homophobie cautionnée par l’État
L’assassinat abject d’un homosexuel âgé de 20 ans en Iran met en lumière le fait que la criminalisation des comportements sexuels consentis entre personnes de même sexe et de la non-conformité de genre perpétue la violence et la discrimination systémiques à l’égard des lesbiennes, gays et personnes bisexuelles, transgenres et inter (LGBTQIA+). -
Syrie Dix ans de conflit, toujours pas de justice
Les membres du Conseil de sécurité de l’ONU disposent du pouvoir et du mandat requis pour aider les civils en Syrie et, pourtant, ils restent paralysés. Résultat : une décennie que la population souffre. -
Iran: Action lettre terminée pour Zeynab Jalalian Préoccupations pour la santé d’une Kurde iranienne en prison
Zeynab Jalalian a été arrêtée en mars 2008 en raison de ses activités d'opposition et en faveur du droit des Kurdes et purge depuis lors une peine de réclusion à perpétuité. Elle souffre de plusieures problèmes de santé, mais elle est privée des soins médicaux adéquats. -
Action lettre terminée - Iran Une ressortissante germano-iranienne détenue arbitrairement
Nahid Taghavi, une ressortissante germano-iranienne âgée de 66 ans, est détenue arbitrairement dans la prison d’Evin, à Téhéran, depuis le 16 octobre 2020. Elle a de sérieux problèmes de santé, notamment du diabète et de l’hypertension, ce qui l’expose à un risque accru de maladie grave ou de décès si elle contracte le COVID-19. Il s'agit d'une prisonnière d’opinion, qui doit être libérée immédiatement et sans condition. -
Iran Coupure volontaire d’Internet pendant la répression meurtrière de 2019
Les autorités iraniennes ont délibérément coupé Internet durant le mouvement de contestation qui a secoué tout le pays en novembre 2019, dissimulant la véritable ampleur des homicides illégaux commis par les forces de sécurité. -
Good news/Iran Narges Mohammadi a été libérée
La défenseure des droits humains Narges Mohammadi, emprisonnée, a finalement été libérée. Elle présentait des symptômes de la maladie COVID19 et souffrait également de plusieurs maladies préexistantes. -
Good news/Iran Nasrin Sotoudeh temporairement libérée
La militante iranienne des droits humains Nasrin Sotoudeh a été temporairement libérée de prison le 7 novembre. -
Action lettre terminée Iran: Nasrin Sotoudeh est en danger
La santé de Nasrin Sotoudeh, avocate spécialiste des droits humains actuellement emprisonnée, est mise en péril. Alors qu'elle était hospitalisée et qu'un médecin avait indiqué qu'elle avait besoin d'une intervention médicale cardiaque, les autorités iraniennes l’ont renvoyée en prison. -
Iran: Action lettre terminée pour Arsalan Khodkam Risque d’exécution après des «aveux» forcés
Arsalan Khodkam, un Kurde iranien, risque d’être exécuté après avoir été condamné à mort en 2018 pour «espionnage». Il n’a cessé de nier les faits qui lui sont reprochés. -
Iran - Suisse Visite du ministre des affaires étrangères Ignazio Cassis à Téhéran
À l'occasion de la prochaine visite du ministre des affaires étrangères Ignazio Cassis à Téhéran, Amnesty International appelle la Suisse à placer les droits humains en tête de l'ordre du jour des discussions avec le gouvernement iranien. La terrible vague de répression en Iran ne peut être éludée des célébrations du 100e anniversaire des relations diplomatiques entre les deux pays. -
Iran Torture, violences sexuelles, décharges électriques: la répression de novembre 2019 documentée
La police, les services du renseignement, les forces de sécurité et des agents de l’administration pénitentiaire iraniens se sont livrés à une épouvantable répression avec la complicité de juges et de procureurs. Ils ont recouru à la détention arbitraire, à la disparition forcée, à la torture et à d’autres formes de mauvais traitements contre les personnes arrêtées en raison des manifestations qui ont eu lieu dans tout le pays en novembre 2019. -
Crise du coronarivus Malgré la menace, des défenseur·e·s des droits humains croupissent en prison
Des gouvernements qui ont été loués pour avoir relâché des prisonnières et des prisonniers en raison de l’épidémie de COVID-19 sur leur territoire, ont exclu les défenseur·e·s des droits humains de ces mesures et continuent de procéder à de nouvelles arrestations de militant·e·s, de journalistes et d’opposant·e·s. -
Action lettre terminée - Iran La vie d'une défenseure des droits humains en danger en raison du COVID-19
La défenseure iranienne des droits humains Narges Mohammadi, qui souffre déjà de graves problèmes de santé, présente des symptômes correspondant au COVID-19. Les autorités iraniennes mettent sa santé et sa vie en danger en la privant de soins médicaux et en la maintenant en détention dans des conditions inhumaines. -
Iran L’État ignore la crise liée au COVID-19 dans les prisons
Des documents officiels qu’Amnesty International s’est procurés révèlent que le gouvernement iranien a ignoré les demandes réitérées de ressources supplémentaires formulées par de hauts responsables de la gestion des prisons en Iran en vue de contrôler la propagation du COVID-19 et traiter les détenus atteints. -
Iran: Action lettre terminée pour les prissonniers COVID-19: Risque élevé dans les prisons
En dépit des quelques libérations annoncées par les autorités iraniennes en réaction à l’épidémie de COVID-19, des centaines de prisonniers et prisonnières d’opinion, dont des défenseur·e·s des droits humains, des manifestant·e·s pacifiques et des personnes incarcérées uniquement pour avoir exercé sans violence leurs droits aux libertés d’expression, d’association, de réunion pacifique et/ou de croyance et de religion, sont maintenu·e·s en détention. -
Opinion Liberté pour Nasrin et tous les autres prisonniers d’opinion
À la prison d’Evin à Téhéran où Nasrin est détenue, les visites des proches ont lieu derrière une vitre ou par téléphone et sont placées sous écoute. Les prisonnières peuvent s’acheter des produits de désinfection au magasin de la prison, à leurs propres frais. Seules les détenues condamnées à des peines de cinq ans au maximum ont droit à des sorties. Confronté à la surpopulation carcérale, le gouvernement iranien a provisoirement libéré 85'000 détenus et en a gracié 10'000. Mais Nasrin, elle, avait été condamnée à 38 ans de prison, et 148 coups de fouet. Elle ne peut donc pas quitter la prison. -
Crise du coronarivus Libération inconditionnelle de tous les prisonniers d’opinion dans le monde
Amnesty International demande la libération immédiate et sans condition de tous les prisonnières et prisonniers d’opinion partout dans le monde, ces personnes étant à présent exposées à des dangers accrus en raison de la pandémie de COVID-19. -
La peine de mort en 2019 Nombre record d’exécutions en Arabie saoudite et recul de la peine de mort à l’échelle mondiale
Malgré la diminution générale du nombre d’exécutions recensées à l’échelle mondiale, l’Arabie saoudite a exécuté un nombre record de personnes en 2019. Les autorités saoudiennes ont mis à mort 184 personnes l’année dernière, soit le plus grand nombre d’exécutions recensées par Amnesty International en un an dans ce pays.
Page 5 sur 14