Libye
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Libye Dix ans après le soulèvement, des membres de milices violentes échappent toujours à la justice
Dix ans après le renversement de Mouammar Kadhafi, la justice n’a toujours pas été rendue aux victimes de crimes de guerre et de graves atteintes aux droits humains, notamment d’homicides illégaux, de disparitions forcées, d’actes de torture, de déplacements forcés et d’enlèvements, commis par des milices ou des groupes armés. -
Libye Réfugié·e·s et migrant·e·s pris au piège dans un terrifiant cycle de violences
En Libye, des dizaines de milliers de réfugié·e·s et de migrant·e·s sont pris au piège dans un effrayant cycle de violences. Tant que les autorités libyennes ne remédient pas aux violences persistantes commises contre les réfugié·e·s et les migrant·e·s, l’UE, ses États membres et la Suisse, qui collabore également avec la Libye via Frontex, doivent cesser leur coopération avec celles-ci. Toute personne secourue ou interceptée en mer Méditerranée ne doit pas être renvoyée en Libye, mais autorisée à débarquer dans un lieu sûr. -
Malte Des méthodes illégales accentuent les souffrances des migrant·e·s en Méditerranée centrale
Le gouvernement maltais recourt à des mesures dangereuses et illégales pour gérer l’arrivée des réfugié·e·s et des migrant·e·s par la mer, ce qui expose de très nombreuses personnes à de grandes souffrances et met leur vie en péril. -
Moyen-Orient et Afrique du Nord: Rapport 2019 Une nouvelle vague de soulèvements massifs se heurte à une répression brutale
C’est avec une détermination qui fait froid dans le dos, que les gouvernements du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord ont brutalement réprimé les manifestations et ont bafoué les droits des centaines de milliers de personnes qui sont descendues dans la rue en 2019 pour réclamer plus de justice sociale et des réformes politiques, a déclaré Amnesty International, à l'occasion de la publication de son rapport annuel sur la situation des droits humains dans la région. -
Libye Civils pris entre deux feux
Un nouveau rapport d'Amnesty International met en évidence les preuves de possibles crimes de guerre imputables au Gouvernement d'union nationale (GUN) reconnu par les Nations unies et à l’Armée nationale libyenne (ANL) autoproclamée, qui se livrent des combats dans la ville Tripoli et aux alentours. Les belligérants tuent et mutilent de très nombreux civils en lançant des attaques sans discrimination et en utilisant tout un arsenal d’armes explosives imprécises dans des zones urbaines peuplées.
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