Documents
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Libye Régner par la terreur
Le groupe armé Tariq Ben Zeyad terrorise les populations depuis son apparition en 2016, en se livrant à une longue liste d'actes horribles tels que des homicides illégaux, actes de torture, mauvais traitements, disparitions forcées et viols. -
Libye: Action lettre terminée pour Mansour Atti Un journaliste enlevé risque la torture
En juin 2021, le journaliste Mansour Atti a été enlevé par des hommes armés. Depuis, sa famille reste sans nouvelles de lui et ignore où il se trouve. Selon des renseignements fiables, il serait détenu par un groupe armé dans l’est de la Libye. Il est fortement à craindre que Mansour Atti puisse être victime de la torture. -
Libye Effroyables violations en détention et rôle honteux de l’Europe dans les renvois forcés
De récents éléments révélant les terribles violations, dont des violences sexuelles, commises contre des hommes, des femmes et des enfants interceptés en Méditerranée et renvoyés de force dans des centres de détention en Libye mettent en lumière les effroyables conséquences de la coopération européenne avec la Libye en matière de contrôle de l’immigration et des frontières. -
Libye Dix ans après le soulèvement, des membres de milices violentes échappent toujours à la justice
Dix ans après le renversement de Mouammar Kadhafi, la justice n’a toujours pas été rendue aux victimes de crimes de guerre et de graves atteintes aux droits humains, notamment d’homicides illégaux, de disparitions forcées, d’actes de torture, de déplacements forcés et d’enlèvements, commis par des milices ou des groupes armés. -
Libye Réfugié·e·s et migrant·e·s pris au piège dans un terrifiant cycle de violences
En Libye, des dizaines de milliers de réfugié·e·s et de migrant·e·s sont pris au piège dans un effrayant cycle de violences. Tant que les autorités libyennes ne remédient pas aux violences persistantes commises contre les réfugié·e·s et les migrant·e·s, l’UE, ses États membres et la Suisse, qui collabore également avec la Libye via Frontex, doivent cesser leur coopération avec celles-ci. Toute personne secourue ou interceptée en mer Méditerranée ne doit pas être renvoyée en Libye, mais autorisée à débarquer dans un lieu sûr. -
Libye Civils pris entre deux feux
Un nouveau rapport d'Amnesty International met en évidence les preuves de possibles crimes de guerre imputables au Gouvernement d'union nationale (GUN) reconnu par les Nations unies et à l’Armée nationale libyenne (ANL) autoproclamée, qui se livrent des combats dans la ville Tripoli et aux alentours. Les belligérants tuent et mutilent de très nombreux civils en lançant des attaques sans discrimination et en utilisant tout un arsenal d’armes explosives imprécises dans des zones urbaines peuplées. -
Libye Attaque contre des réfugiés et des migrants dans un centre de détention
La violente attaque menée par des combattants qui ont ouvert le feu sur des réfugiés et des migrants dans un centre de détention en périphérie de Tripoli souligne à quel point il est urgent de protéger les civils et d’amener les responsables de ces agissements à rendre des comptes. -
Libye L’escalade des violences menace les civils
Les craintes de nouvelles pertes civiles liées à l’escalade des affrontements aux abords de Tripoli entre les forces de l’Armée nationale libyenne autoproclamée, dirigées par le maréchal Khalifa Haftar, et les milices alliées au gouvernement libyen d’union nationale reconnu par la communauté internationale ne cessent de croître. La population a besoin de protection. -
Libye Les politiques migratoires européennes abandonnent les réfugiés bloqués dans le pays
Un an après le tollé mondial suscité par des images choquantes d’êtres humains achetés et vendus en Libye, la situation des migrants et des réfugiés dans ce pays reste grave et a, à certains égards, empiré. -
Migrants en Libye Les gouvernements européens complices d'un vaste système d'abus et d'exploitation
Les gouvernements européens se rendent sciemment complices des violences et des tortures infligées à des dizaines de milliers de réfugiés et de migrants détenus par les services libyens de l'immigration dans des conditions épouvantables, révèle Amnesty International dans le sillage de l'indignation générale suscitée par la vente de migrants en Libye. La Suisse collabore également avec les autorités libyennes autour de la migration. -
Pétition terminée Stop à la détention et à la vente de réfugiés et de migrants en Libye !
La torture, la détention, l’exploitation et le viol sont d’horribles abus quotidiens pour des milliers de réfugié·e·s et migrant·e·s en Libye. Demandez aux autorités libyennes et à l’Union européenne de mettre fin aux multiples violations des droits humains des réfugié·e·s et migrant·e·s dans ce pays ! -
UE – Libye : projet d’accord migratoire L’Europe risque de favoriser d’horribles violations
L'Union européenne (UE) projette de coopérer plus étroitement avec la Libye en matière de migration, au risque de favoriser les mauvais traitements endémiques des réfugiés et des migrants, et la détention pour une durée indéterminée. -
Libye Cinq ans après le soulèvement contre Kadhafi, le chaos
Cinq ans après le soulèvement ayant mis fin au régime autoritaire et brutal du colonel Mouammar Kadhafi, un fort soutien international est nécessaire, afin de mettre un terme au chaos et aux nombreuses violations auxquels la Libye est en proie. -
Libye Enlèvements en série
Alors que les négociations concernant la formation d’un gouvernement d’union nationale sont en cours, le journaliste Abdelsalam al Shahoumi, enlevé sous la menace d’une arme sur son lieu de travail à Tripoli, est une victime de plus d’une série d’enlèvements qui se poursuit sans relâche. Les autorités libyennes et tous les groupes qui contrôlent le terrain doivent libérer immédiatement et sans condition Abdelsalam al Shahoumi, et veiller à ce qu’il soit protégé de la torture et de toute autre forme de mauvais traitement. -
Libye Sept manières dont les droits humains sont battus en brèche depuis le «Printemps arabe»
Il y a cinq ans en Libye, un soulèvement initialement pacifique s’est rapidement mué en conflit armé, donnant notamment lieu à une intervention militaire occidentale. Il a pris fin lorsque le colonel Mouammar Kadhafi a été tué en octobre 2011. Les gouvernements successifs ne sont ensuite pas parvenus à empêcher des milices nouvellement créées, composées de combattants anti-Kadhafi, de commettre des crimes pour lesquels elles n’ont jamais été amenées à rendre des comptes. Le pays reste profondément divisé et il est, depuis mai 2014, de nouveau en proie au conflit armé. Voici sept manières dont les droits humains sont battus en brèche à travers le pays : -
Libye Des migrants «forcés» à traverser la Méditerranée
À travers la Libye, les réfugiés et les migrants sont victimes de viols, de torture et d’enlèvements aux mains des trafiquants d’êtres humains et des passeurs, d’exploitation systématique de la part de leurs employeurs, de persécutions religieuses et d’autres violations des droits humains imputables aux groupes armés et aux bandes criminelles, écrit Amnesty International dans son nouveau rapport publié lundi 11 mai 2015. -
Libye Crimes de guerre à Benghazi: les milices toutes-puissantes
Des sanctions ciblées imposées par les Nations unies, et l'établissement des responsabilités de chaque camp, notamment par l'intermédiaire de la Cour pénale internationale (CPI), sont requises de toute urgence afin de mettre un terme aux nombreux enlèvements, actes de torture, exécutions sommaires et autres violations attribués aux forces rivales en Libye et constituant dans certains cas des crimes de guerre, écrit Amnesty International dans une nouvelle synthèse rendue publique le 28 janvier. -
Libye Les crimes de guerre commis par des milices rivales en forte augmentation
Se pensant au-dessus des lois, des milices et groupes armés de tous les camps partie au conflit dans l'ouest de la Libye se rendent coupables de très nombreuses violations des droits humains, notamment de crimes de guerre, selon une nouvelle synthèse d'Amnesty International. -
Libye Les pilonnages sans discernement de zones civiles sont des crimes de guerre
Amnesty International demande à tous les camps de cesser immédiatement de pilonner sans discrimination des zones civiles de Tripoli et de Benghazi, où des affrontements se sont mués en deux conflits armés distincts ces dernières semaines. Lorsque des attaques aveugles de ce type tuent ou blessent des civils, elles constituent des crimes de guerre. -
Libye Les habitants de Benghazi confrontés à des pilonnages inconsidérés
L'armée libyenne et les groupes armés, y compris les milices, doivent cesser de pilonner sans précaution les zones résidentielles et de mettre en danger la vie des habitants de Benghazi, a déclaré Amnesty International après une nouvelle série d'intenses combats dans l'est de la ville.
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