2017
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Migrants en Libye Les gouvernements européens complices d'un vaste système d'abus et d'exploitation
Les gouvernements européens se rendent sciemment complices des violences et des tortures infligées à des dizaines de milliers de réfugiés et de migrants détenus par les services libyens de l'immigration dans des conditions épouvantables, révèle Amnesty International dans le sillage de l'indignation générale suscitée par la vente de migrants en Libye. La Suisse collabore également avec les autorités libyennes autour de la migration. -
Pétition terminée Stop à la détention et à la vente de réfugiés et de migrants en Libye !
La torture, la détention, l’exploitation et le viol sont d’horribles abus quotidiens pour des milliers de réfugié·e·s et migrant·e·s en Libye. Demandez aux autorités libyennes et à l’Union européenne de mettre fin aux multiples violations des droits humains des réfugié·e·s et migrant·e·s dans ce pays ! -
Groupe de contact pour la Méditerranée centrale La protection effective des réfugiés et migrants doit être la priorité
La protection des réfugiés et des migrants doit être au centre de la rencontre du Groupe de contact pour la Méditerranée centrale le 13 novembre à Berne. Les promesses de Simonetta Sommaruga restent toutefois vagues au préalable de cette rencontre. En raison de la situation catastrophique des droits humains en Libye, Amnesty International exige que la Suisse et l’Europe créent des voies légales sûres afin de protéger les migrants et réfugiés et qu’elles ne transfèrent pas leur responsabilité aux États africains qui se trouvent sur la route migratoire. -
Opinion La Libye, le trou noir qui arrange l’Europe
Au moins un million de migrants sont aujourd’hui bloqués en Libye. Quinze mille d’entre eux sont détenus dans des centres secrets. Les témoignages de ceux qui ont réussi à en réchapper dépassent l’entendement, faisant part de torture, de privation de nourriture ou de viols. Et pourtant, les pays européens continuent à collaborer avec les Libyens et de leur fournir assistance, déplore Manon Schick. -
France Emmanuel Macron: un discours à double sens sur les réfugiés
La volonté du président français de déployer des missions de l'Office français de protection des réfugiés et des apatrides (OFPRA) dans les pays proches des conflits est une nouvelle importante, car elle permettrait aux réfugiés d'éviter d'avoir à mettre leur vie en danger pour trouver refuge. En revanche, mettre en place des centres d'examen des demandes d'asile en Libye est une idée extrêmement dangereuse qui doit être abandonnée.
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