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UE – Libye : projet d’accord migratoire L’Europe risque de favoriser d’horribles violations
L'Union européenne (UE) projette de coopérer plus étroitement avec la Libye en matière de migration, au risque de favoriser les mauvais traitements endémiques des réfugiés et des migrants, et la détention pour une durée indéterminée. -
Libye Cinq ans après le soulèvement contre Kadhafi, le chaos
Cinq ans après le soulèvement ayant mis fin au régime autoritaire et brutal du colonel Mouammar Kadhafi, un fort soutien international est nécessaire, afin de mettre un terme au chaos et aux nombreuses violations auxquels la Libye est en proie. -
Libye Enlèvements en série
Alors que les négociations concernant la formation d’un gouvernement d’union nationale sont en cours, le journaliste Abdelsalam al Shahoumi, enlevé sous la menace d’une arme sur son lieu de travail à Tripoli, est une victime de plus d’une série d’enlèvements qui se poursuit sans relâche. Les autorités libyennes et tous les groupes qui contrôlent le terrain doivent libérer immédiatement et sans condition Abdelsalam al Shahoumi, et veiller à ce qu’il soit protégé de la torture et de toute autre forme de mauvais traitement. -
Libye Sept manières dont les droits humains sont battus en brèche depuis le «Printemps arabe»
Il y a cinq ans en Libye, un soulèvement initialement pacifique s’est rapidement mué en conflit armé, donnant notamment lieu à une intervention militaire occidentale. Il a pris fin lorsque le colonel Mouammar Kadhafi a été tué en octobre 2011. Les gouvernements successifs ne sont ensuite pas parvenus à empêcher des milices nouvellement créées, composées de combattants anti-Kadhafi, de commettre des crimes pour lesquels elles n’ont jamais été amenées à rendre des comptes. Le pays reste profondément divisé et il est, depuis mai 2014, de nouveau en proie au conflit armé. Voici sept manières dont les droits humains sont battus en brèche à travers le pays : -
Libye Des migrants «forcés» à traverser la Méditerranée
À travers la Libye, les réfugiés et les migrants sont victimes de viols, de torture et d’enlèvements aux mains des trafiquants d’êtres humains et des passeurs, d’exploitation systématique de la part de leurs employeurs, de persécutions religieuses et d’autres violations des droits humains imputables aux groupes armés et aux bandes criminelles, écrit Amnesty International dans son nouveau rapport publié lundi 11 mai 2015.
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