Libye
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Groupe de contact pour la Méditerranée centrale La protection effective des réfugiés et migrants doit être la priorité
La protection des réfugiés et des migrants doit être au centre de la rencontre du Groupe de contact pour la Méditerranée centrale le 13 novembre à Berne. Les promesses de Simonetta Sommaruga restent toutefois vagues au préalable de cette rencontre. En raison de la situation catastrophique des droits humains en Libye, Amnesty International exige que la Suisse et l’Europe créent des voies légales sûres afin de protéger les migrants et réfugiés et qu’elles ne transfèrent pas leur responsabilité aux États africains qui se trouvent sur la route migratoire. -
Opinion La Libye, le trou noir qui arrange l’Europe
Au moins un million de migrants sont aujourd’hui bloqués en Libye. Quinze mille d’entre eux sont détenus dans des centres secrets. Les témoignages de ceux qui ont réussi à en réchapper dépassent l’entendement, faisant part de torture, de privation de nourriture ou de viols. Et pourtant, les pays européens continuent à collaborer avec les Libyens et de leur fournir assistance, déplore Manon Schick. -
France Emmanuel Macron: un discours à double sens sur les réfugiés
La volonté du président français de déployer des missions de l'Office français de protection des réfugiés et des apatrides (OFPRA) dans les pays proches des conflits est une nouvelle importante, car elle permettrait aux réfugiés d'éviter d'avoir à mettre leur vie en danger pour trouver refuge. En revanche, mettre en place des centres d'examen des demandes d'asile en Libye est une idée extrêmement dangereuse qui doit être abandonnée. -
Union européenne Un projet de code de conduite pour les sauvetages en mer menace des vies
Des milliers de réfugiés et migrants supplémentaires pourraient risquer de se noyer en mer si un aberrant code de conduite pour les organisations non gouvernementales menant des opérations de recherche et de sauvetage en Méditerranée centrale est appliqué, ont déclaré Amnesty International et Human Rights Watch. -
Forteresse Europe Le bilan meurtrier s’alourdit pour les réfugiés et migrants en Méditerranée centrale
Le terrible bilan en Méditerranée centrale et les violations des droits humains endurées par des milliers de réfugiés et de migrants dans les centres de détention libyens sont clairement liés à la politique défaillante de l'Union européenne (UE), écrit Amnesty International dans un nouveau rapport. -
Union européenne La coopération avec les garde-côtes libyens conduit inévitablement à des abus
À l'approche du Conseil européen des 22 et 23 juin, Amnesty International demande aux dirigeants de l'Union européenne (UE) d'intensifier les efforts pour sauver des vies en Méditerranée, et de cesser de coopérer aux renvois en Libye, avant que d'autres personnes ne meurent noyées, les traversées se multipliant durant l'été. -
Europe Si l’UE ferme ses frontières maritimes, les migrants seront bloqués en Libye
En fermant ses frontières maritimes méridionales, l’Union européenne (UE) exposerait des milliers de réfugiés et de migrants quittant la Libye par la mer au risque d’être détenus et de subir de graves atteintes aux droits humains, a déclaré Amnesty International alors que les dirigeants européens doivent se rencontrer à Malte le 3 février 2017 pour définir un plan UE-Libye en matière de migration. Ce projet a été initialement proposé à la fin du mois de janvier par la Commission européenne pour «gérer la migration» le long de la route de la Méditerranée centrale. -
Mali En prison dans le Sahara
Les réfugiés qui tentent de gagner l’Europe en traversant l’Afrique de l’Ouest et le Maghreb sont fréquemment victimes d’enlèvements et de violences. Un reportage au Mali et en Libye -
16 jours d'action contre la violence à l'égard des femmes La violence à l’égard des femmes réfugiées
Dans le cadre de la Journée internationale de l'élimination de la violence faite aux femmes (et la campagne 16 jours d'actions contre la violence à l'égard des femmes), Amnesty souhaite mettre en lumière le harcèlement subi par les femmes réfugiées. Actuellement, plus de 60 millions de personnes ont dû quitter leur domicile pour fuir la guerre ou la persécution. Environ la moitié d'entre elles sont des femmes, selon les estimations du Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés. Les femmes réfugiées sont davantage exposées à la violence, l'exploitation et au harcèlement sexuel. -
16 jours d'action contre la violence à l'égard des femmes La violence à l’égard des femmes réfugiées
Dans le cadre de la Journée internationale de l'élimination de la violence faite aux femmes (et la campagne 16 jours d'actions contre la violence à l'égard des femmes), Amnesty souhaite mettre en lumière le harcèlement subi par les femmes réfugiées. Actuellement, plus de 60 millions de personnes ont dû quitter leur domicile pour fuir la guerre ou la persécution. Environ la moitié d'entre elles sont des femmes, selon les estimations du Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés. Les femmes réfugiées sont davantage exposées à la violence, l'exploitation et au harcèlement sexuel. -
UE – Libye : projet d’accord migratoire L’Europe risque de favoriser d’horribles violations
L'Union européenne (UE) projette de coopérer plus étroitement avec la Libye en matière de migration, au risque de favoriser les mauvais traitements endémiques des réfugiés et des migrants, et la détention pour une durée indéterminée. -
Libye Cinq ans après le soulèvement contre Kadhafi, le chaos
Cinq ans après le soulèvement ayant mis fin au régime autoritaire et brutal du colonel Mouammar Kadhafi, un fort soutien international est nécessaire, afin de mettre un terme au chaos et aux nombreuses violations auxquels la Libye est en proie. -
Libye Enlèvements en série
Alors que les négociations concernant la formation d’un gouvernement d’union nationale sont en cours, le journaliste Abdelsalam al Shahoumi, enlevé sous la menace d’une arme sur son lieu de travail à Tripoli, est une victime de plus d’une série d’enlèvements qui se poursuit sans relâche. Les autorités libyennes et tous les groupes qui contrôlent le terrain doivent libérer immédiatement et sans condition Abdelsalam al Shahoumi, et veiller à ce qu’il soit protégé de la torture et de toute autre forme de mauvais traitement. -
Libye Sept manières dont les droits humains sont battus en brèche depuis le «Printemps arabe»
Il y a cinq ans en Libye, un soulèvement initialement pacifique s’est rapidement mué en conflit armé, donnant notamment lieu à une intervention militaire occidentale. Il a pris fin lorsque le colonel Mouammar Kadhafi a été tué en octobre 2011. Les gouvernements successifs ne sont ensuite pas parvenus à empêcher des milices nouvellement créées, composées de combattants anti-Kadhafi, de commettre des crimes pour lesquels elles n’ont jamais été amenées à rendre des comptes. Le pays reste profondément divisé et il est, depuis mai 2014, de nouveau en proie au conflit armé. Voici sept manières dont les droits humains sont battus en brèche à travers le pays : -
Suisse A nouveau des armes pour les conflits au Proche-Orient?
Le moratoire sur les exportations d’armes au Proche-Orient ne doit pas être levé, demande la Section suisse d’Amnesty International. -
Actuel Des gestes qui comptent
A l’heure où nous mettions sous presse, près de deux mille migrant·e·s avaient été englouti·e·s en Méditerranée depuis le début de l’année. Dont huit cents lors du seul naufrage du 18 avril. Ce dernier accident a provoqué une vague d’émotion en Europe. Les médias ont largement relayé l’événement et les politiques ont promis de prendre des mesures pour éviter que de tels drames ne se reproduisent. -
Libye Des migrants «forcés» à traverser la Méditerranée
À travers la Libye, les réfugiés et les migrants sont victimes de viols, de torture et d’enlèvements aux mains des trafiquants d’êtres humains et des passeurs, d’exploitation systématique de la part de leurs employeurs, de persécutions religieuses et d’autres violations des droits humains imputables aux groupes armés et aux bandes criminelles, écrit Amnesty International dans son nouveau rapport publié lundi 11 mai 2015. -
Libye Crimes de guerre à Benghazi: les milices toutes-puissantes
Des sanctions ciblées imposées par les Nations unies, et l'établissement des responsabilités de chaque camp, notamment par l'intermédiaire de la Cour pénale internationale (CPI), sont requises de toute urgence afin de mettre un terme aux nombreux enlèvements, actes de torture, exécutions sommaires et autres violations attribués aux forces rivales en Libye et constituant dans certains cas des crimes de guerre, écrit Amnesty International dans une nouvelle synthèse rendue publique le 28 janvier. -
Moyen-Orient et Afrique du nord
Portail avec un aperçu de tous les dossiers concernant les pays du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord. -
Libye Les crimes de guerre commis par des milices rivales en forte augmentation
Se pensant au-dessus des lois, des milices et groupes armés de tous les camps partie au conflit dans l'ouest de la Libye se rendent coupables de très nombreuses violations des droits humains, notamment de crimes de guerre, selon une nouvelle synthèse d'Amnesty International.
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