Documents
-
Arabie saoudite Verdict contre la militante des droits des femmes Loujain al-Hathloul: pas de pitié
À 31 ans, Loujain al-Hathloul, est en prison depuis plus de deux ans. Loujain n’est pas une criminelle. C’est une défenseure des droits humains sanctionnée uniquement pour avoir osé prôner le changement dans son pays. Elle aspire simplement à un avenir meilleur pour les femmes saoudiennes. -
Action lettres Maroc Un journaliste soumis à un harcèlement juridique
Le 29 juillet 2020, le journaliste marocain Omar Radi a été inculpé pour «atteinte à la sécurité intérieure de l’État» et pour «viol». Les autorités marocaines le harcèlent depuis la publication en juin 2020 d’un rapport d’Amnesty International révélant qu’elles l’avaient illégalement espionné au moyen de son téléphone. Omar Radi a dénoncé ouvertement le bilan du gouvernement en matière de droits humains, et il a enquêté sur la corruption des autorités. -
Répression en Égypte La diplomatie suisse doit faire preuve de courage
Amnesty International salue la libération des trois militants des droits humains, qui avaient été arbitrairement arrêtés en Égypte en lien avec une rencontre à laquelle participait un diplomate suisse. L’organisation exige que la diplomatie suisse assume ses responsabilités et continue à s’engager, ce également publiquement, pour la sécurité et les droits de ses partenaires. -
Action Lettre Égypte Répression contre l'Initiative égyptienne pour les droits de la personne (EIPR)
Entre le 15 et le 19 novembre 2020, les forces de sécurité égyptiennes ont arrêté Mohamed Basheer, Karim Ennarah et Gasser Abdel-Razek, cadres du personnel de l’Initiative égyptienne pour les droits de la personne (EIPR), une ONG égyptienne indépendante de défense des droits humains. Ils sont maintenus en détention arbitraire dans l’attente des conclusions d’enquêtes sur des accusations infondées, notamment de «terrorisme», engagées uniquement à titre de représailles pour le travail de défense des droits humains de l’EIPR. -
Irak Des milliers d’Irakien·ne·s déplacé·e·s et violent·é·s pour leurs liens présumés avec l’EI
Des milliers d’Irakien·ne·s déplacés et accusés d’avoir des liens avec le groupe armé se désignant sous le nom d’État islamique (EI), qui ont déjà été soumis à des détentions arbitraires, des disparitions forcées et des procès iniques, sont aujourd’hui exposés à un risque accru en raison de la fermeture des camps ordonnée par les autorités irakiennes malgré les nombreux obstacles entravant un retour sûr, digne et durable.
Page 1 sur 7