Son cas démontre à quel point la liberté d’expression est menacée en Tunisie, au nom de la religion, de la morale et de l’ordre public, même après le «printemps arabe».
Dans le cadre de la campagne «Exprime-toi, liberté!» Amnesty s’est fortement engagé en faveur de la libération de Jabeu Mejri.
La Suisse a également contribué au succès de cette campagne. Plusieurs milliers de signatures ont été envoyées au Président Tunisien et de nombreux messages de solidarité sont parvenus à Jabeur.