2015
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Yémen Le bombardement d'écoles met en péril l'avenir des enfants
Les forces de la coalition conduite par l’Arabie saoudite se sont livrées à plusieurs frappes aériennes qui ont visé des établissements scolaires, en violation du droit international humanitaire. Elles ont ainsi entravé l’accès à l’éducation de milliers d’enfants du Yémen. Les forces de la coalition sont armées par des États, dont les États-Unis et le Royaume-Uni. -
Yémen 80% de la population a besoin d'aide humanitaire
Le conflit au Yémen a déjà tué plus de 2 000 civils, dont 400 enfants. 1,4 million de personnes ont été déplacées à l’intérieur du pays par les affrontements. 80 % de la population a besoin d’aide humanitaire, notamment de nourriture, d’eau, d’abris, de carburant et de services sanitaires. Retour sur la chronologie du conflit. -
Yémen L'ONU doit enquêter sur les crimes de guerre
L’ONU doit enquêter sur les violations du droit international humanitaire et sur les atteintes flagrantes aux droits humains commises au Yémen par toutes les parties. Six mois après le début des frappes aériennes menées par la coalition, la situation des civils est catastrophique. -
Yémen Assauts destructeurs contre les civils
Les frappes aériennes de la coalition dirigée par l’Arabie saoudite et les attaques lancées par des groupes armés pro et anti-Houthis à Taizz et Aden, au Yémen, ont tué de très nombreux civils - parmi lesquels des dizaines de mineurs - et pourraient constituer des crimes de guerre. -
Yémen Au moins six civils brûlés vifs lors de nouvelles frappes aériennes
Il apparaît de plus en plus clairement que la coalition militaire dirigée par l’Arabie saoudite s’abstient de prendre des précautions afin de prévenir l’homicide de civils lors des frappes aériennes prenant pour cible des sites situés au Yémen, a déclaré Amnesty International, en confirmant qu’au moins six civils, dont quatre mineurs, faisaient partie des quatorze personnes brûlées vives lors de nouvelles frappes très tôt le 31 mars. -
Yémen Les forces de sécurités abattent huit manifestants pacifiques
La mort le 24 mars d’au moins huit manifestants pacifiques, abattus à Taizz par des membres des forces de sécurité centrales yéménites fidèles à l’insurrection chiite des Houthis, témoigne d’un mépris flagrant pour la vie humaine, tandis que le pays s’enfonce dans le chaos, a déclaré Amnesty International. -
Yémen Attentats meurtriers contre deux mosquées à Sanaa
Les attentats-suicides perpétrés contre deux mosquées à Sanaa vendredi 20 mars 2015, qui ont fait des dizaines de morts et plus de cent blessés, doivent faire sans délai l’objet d’enquêtes en vue de traduire en justice les responsables présumés, a déclaré Amnesty International.