Depuis la fin des années 1980, des milliers de personnes y ont été torturées à mort. Au vu des rapports actuels sur la pratique de la torture et les exécutions dans la prison militaire de Saidnaya à Damas, le film prend un caractère tristement actuel.
Tadmor, le nom arabe de la ville de Palmyre, est une prison militaire tristement réputée, dans laquelle le régime syrien a torturé de nombreuses personnes et procédé à de nombreuses disparitions forcées, pendant des décennies. Le groupe armée autoproclamé «État islamique» a fait exploser la prison en 2015.
Des opposants politiques libanais ayant dans les années 1980 subi la violence des services de sécurité syriens, reconstituent les locaux de la prison dans une école abandonnée d’une banlieue de Beyrouth.
Des tables rondes auront lieu à la suite de certaines premières avec la réalisatrice Monika Borgman et le ralisateur Lokman Slim ainsi qu’un ou une représentant·e d’Amnesty.
Le samedi 11 mars à 18h00
Delémont: Cinéma La Grange
Le lundi 13 mars à 19h30
Sainte-Croix: Cinéma Royal
Le mardi 14 mars à 20h00
Neuchâtel: Cinéma Minimum
Le mercredi 15 mars à 17h30 et 20h30
Genève: Cinéma Spoutnik
Le samedi 18 mars à 17h00
Oron: Cinéma d'Oron
Le samedi 18 mars à 20h00
Lausanne: Zinema
Le dimanche 19 mars à 19h00
Tramelan: Le Cinématographe