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Suisse Victoire: le Parlement renforce le contrôle des exportations d'armes
Le Parlement suisse a pris une décision importante concernant les règles régissant l'exportation d'armes, apportant ainsi un changement qu'Amnesty Suisse réclamait depuis longtemps. À l'avenir, les exportations d'armes vers les pays qui violent gravement et systématiquement les droits humains, ou qui sont impliqués dans une guerre civile, seront interdites sans exception. -
Nations unies Les puissances nucléaires doivent signer un traité historique rendant les armes nucléaires illégales
Une étape historique a été franchie vendredi 22 janvier dans la campagne visant à débarrasser le monde des armes nucléaires, a déclaré Amnesty International, au moment où le Traité sur l’interdiction des armes nucléaires (TIAN) entre en vigueur. Ce traité rend illégal au regard du droit international le fait de mettre au point, de tester, de posséder, de stocker, d’utiliser ou de menacer d’utiliser des armes nucléaires. Il a été adopté par deux tiers des États membres des Nations unies. -
Gaz lacrymogènes Le commerce des gaz lacrymogènes favorise les violences policières partout dans le monde
Le commerce opaque et peu règlementé des gaz lacrymogènes favorise les violations des droits humains commises par la police contre des manifestant·e·s pacifiques partout dans le monde. Amnesty International lance un nouveau moyen d’information exposant des cas d’utilisation abusive de cet agent de lutte antiémeute recensés partout dans le monde. -
Exportations d'armes Il faut cesser de livrer des armes suisses dans des zones de conflit
Le SECO a publié de nouvelles statistiques sur les exportations d’armes: les livraisons d'armes suisses ont connu l'année dernière une forte augmentation, de 43%, pour atteindre 728 millions de francs. -
Entreprises d’armements Pas d'analyses de risques sérieuses en matière de droits humains
Alors que les plus grandes entreprises d’armements du monde s’apprêtent à exposer lors d’un salon mondial à Londres, un nouveau rapport d’Amnesty International montre que des géants de cette industrie, dont Airbus, BAE Systems et Raytheon, n’exercent pas pleinement la diligence raisonnable en matière de droits humains qui permettrait d’éviter que leurs produits ne soient utilisés dans de possibles violations des droits humains et crimes de guerre.
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