Documents
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51ème législature 2019 - 2023 Pour une Suisse qui respecte les droits humains de toutes et de tous
Un nouveau Parlement vient d’être élu. Les défis qui l’attendent sont nombreux et nous aimerions l’inviter à suivre comme fil rouge, tout au long de la législature, le respect des droits fondamentaux. En effet, comme on peut le constater à travers les neuf chapitres figurant dans la brochure que nous publions à l’attention des Parlementaires, bon nombre de sujets traités ont un lien direct avec les droits humains. -
Campagne «LIBRE» La solidarité n’est pas un crime, protégeons-là!
Suite aux multiples condamnations de défenseur·e·s des droits humains qui ont apporté leur aide à des migrant·e·s sans statut légal et en vue du prochain débat aux chambres fédérales à ce sujet, Amnesty International et Solidarité sans frontières ont remis à Berne leur pétition «la solidarité n’est pas un crime». Près de 30'000 personnes et 200 avocat·e·s demandent que les actes de solidarité ne soient plus poursuivis ni condamnés. -
Les droits humains au parlement Session d'hiver 2019 (02.12. - 20.12)
La responsabilité des entreprises transnationales sera à nouveau à l'ordre du jour de cette dernière session de la législature. Il y sera également question de service civil, de violences sexuelles et d'interdiction de se couvrir le visage. Autant de sujets sur lesquels Amnesty se positionne. -
Modification de la loi sur les étrangers et l'intégration Restriction des voyages à l’étranger et modification du statut de l’admission à titre provisoire
La Section suisse d'Amnesty International considère qu'une interdiction générale ou des restrictions supplémentaires aux déplacements à l'étranger des demandeurs d'asile et des personnes admises « à titre temporaire » constituent une atteinte inadéquate et disproportionnée au droit à la protection de la vie privée et familiale et une restriction de la liberté de mouvement. L'organisation de protection des droits humains rejette donc fermement les changements proposés par le Conseil fédéral. -
La peine de Lisa Bosia Mirra allégée Un geste insuffisant: la solidarité n’est pas un crime!
La Cour d’appel de Locarno a allégé la peine infligée à Lisa Bosia Mirra par le Tribunal de Bellinzone. Un geste insuffisant déplore Amnesty International Suisse, qui estime que les pouvoirs judiciaires des différents cantons devraient cesser de poursuivre et de condamner les actes de solidarité. Elle avait aidé 20 personnes, pour la plupart des mineurs non accompagnés, à franchir la frontière entre l’Italie et la Suisse entre août et septembre 2016. -
Les droits humains au parlement Session d'automne 2019 (09.09 - 27.09)
La responsabilité des entreprises transnationales sera à nouveau à l'ordre du jour de cette dernière session de la législature. Il y sera également question de service civil, de violences sexuelles et d'interdiction de se couvrir le visage. Autant de sujets sur lesquels Amnesty se positionne. -
Méditerrannée Sauvetage en mer la Suisse doit jouer un rôle actif
Face à la catastrophe humanitaire en Méditerranée, l'Aide suisse aux réfugiés (OSAR), ses organisations membres - dont Amnesty International - et la Croix-Rouge suisse demandent à la Suisse de contribuer activement au sauvetage en Méditerranée. Dans une lettre ouverte, les organisations appellent la conseillère fédérale Karin Keller-Sutter à prendre immédiatement les mesures nécessaires. La Suisse ne doit plus rester sur la touche. Elle porte sa part de responsabilité vis à vis des morts en Méditerranée. -
Délit de solidarité Condamnation confirmée pour Anni Lanz
Le Tribunal cantonal du Valais a confirmé la condamnation d’Anni Lanz, défenseuse des droits humains. Elle était venue en aide a un demandeur d'asile afghan gravement traumatisé et en situation de détresse, qui a dû dormir dehors par des températures inférieures à zéro. Le tribunal cantonal a ainsi estimé qu'elle avait bel et bien «favorisé l'entrée illégale» d’un étranger en Suisse. -
Une caravane de vélos solidaire ! Des militants d’Amnesty pédalent pour promouvoir la solidarité envers les personnes réfugiées
Du 24-27 juillet, une vingtaine de personnes âgées de 16 à 76 ans sillonneront la Suisse à vélo. Le but: promouvoir le droit d’aider les personnes migrantes, quel que soit leur statut légal. -
Criminalisation de la solidarité Sauver des vies, un «délit» passible de prison
La capitaine du bateau humanitaire Sea-Watch 3, Carola Rackete, risque jusqu’à dix ans de prison. Son délit? Avoir forcé le passage pour accoster à Lampedusa. Depuis 17 jours, 40 migrants secourus au large des côtes libyennes étaient bloqués sur son bateau, parce que les autorités italiennes lui refusaient l’accès à tous les ports italiens. -
Erythrée La répression s’étend au-delà des frontières
Alors que l’Érythrée siège au Conseil des droits de l’homme de l’ONU, des sympathisants et des responsables du gouvernement à l’étranger harcèlent et intimident les défenseurs des droits humains et les militants exilés, au seul motif qu’ils critiquent le régime répressif. Comme le montre le rapport de l’organisation, alliés et représentants du régime érythréen sévissent aussi en Suisse. -
Suisse 80 personnes venues soutenir Norbert Valley
Plus de 80 personnes sont venues soutenir Norbert Valley, le 11 avril à Neuchâtel, lors d’une action de solidarité organisée par Amnesty International. Le pasteur est poursuivi pour avoir aidé une personne en détresse, sans statut légal en Suisse. -
«Campagne LIBRE»: pour célébrer la solidarité Protéger la solidarité envers les réfugiés et les migrants!
La Section suisse d’Amnesty fait campagne pour encourager et protéger les défenseurs des droits des réfugiés et des migrants. L’organisation demande l’abrogation des lois qui limitent et répriment leur travail, notamment l’article 116 de la Loi fédérale sur les étrangers et l’intégration (LEI). -
Action de soutien à Norbert Valley «Protégeons les personnes solidaires!»
Le 11 avril à Neuchâtel, Amnesty International organise une action de solidarité en soutien à Norbert Valley, un pasteur poursuivi pour avoir apporté son aide à un requérant d’asile togolais dont la demande d’asile a été refusée. -
Portrait Un reporter à l’écoute des migrant·e·s
Journaliste au quotidien Le Temps, Étienne Dubuis ne cesse de s’interroger sur les faits de société d’ici et d’ailleurs. Portrait d’une plume qui vient de consacrer un livre aux migrants ouest-africains. -
Renvois vers l'Érythrée Le Comité contre la torture blâme la Suisse
Le Comité contre la torture de l'ONU (CAT) a estimé que les autorités suisses en matière d'asile ont violé la Convention contre la torture dans le cadre d’une décision de renvoi d’un requérant d’asile débouté vers l'Érythrée. -
Opinion La solidarité est la preuve de notre humanité
La fin de l’année s’approche et avec elle le moment de tirer des bilans. Sur le front des droits humains, la situation est plus que morose. Syrie, Yémen, Soudan, Birmanie, Venezuela: les crises se succèdent avec des milliers de personnes qui cherchent un refuge devant la violence. Et trop souvent, les États se barricadent contre les réfugiés, allant même jusqu’à construire des murs à leur frontière. -
Suisse Dix ans d’application du règlement Dublin: la société civile tire la sonnette d’alarme
Cela fait dix ans aujourd’hui que la Suisse est entrée dans l’espace Schengen / Dublin. Les associations qui défendent les réfugié-e-s et leurs droits tirent la sonnette d’alarme: les autorités suisses en charge de l’asile doivent davantage entrer en matière sur les demandes d’asile des personnes particulièrement vulnérables. -
Suisse Une défenseuse des migrants condamnée
Amnesty International critique vertement le jugement prononcé contre la militante des droits des migrants Anni Lanz par le tribunal de district de Brigue. À 72 ans, elle avait fait traverser la frontière suisse à un requérant d’asile afghan lourdement traumatisé, qui devait dormir dehors par moins dix degrés et souffrait d’engelures. Les jours- amende dont elle avait écopé sont supprimés mais le montant de l’amende à laquelle elle est condamnée a été augmenté, ainsi que les frais de procédure. -
Opinion Le mépris de la vie humaine
Cela fait deux mois que le navire Aquarius est bloqué dans le port de Marseille et ne peut plus secourir des personnes qui se noient en mer Méditerranée. Tout cela parce que le Panama, mis sous pression par l’Italie, a retiré à l’Aquarius le pavillon qui lui permettait de naviguer. Et parce que les autres États, dont la Suisse, refusent d’assumer leurs responsabilités face à cette grave crise.
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