«Par cette décision du mardi 13 juin 2017, la Commission européenne fait clairement savoir que les pays ne sauraient échapper aux conséquences de la mauvaise volonté dont ils font preuve en matière d'accueil des réfugiés. La solidarité est la clé d'une réponse équitable et humaine à la crise des réfugiés en Europe.
«Aujourd'hui, la Hongrie, la Pologne et la République tchèque s'aperçoivent qu'elles ne peuvent pas, sans en subir les conséquences, refuser de prendre leur part dans l'accueil de ces personnes qui ont fui pour sauver leur vie. Les autres pays doivent en tirer les leçons et remplir leurs obligations avant d'avoir à l'apprendre à leurs dépens.»