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Action lettre: Serbie / Délai expiré Un militant politique en grève de la faim
Depuis juin 2021, Ecevit Piroğlu, militant politique turc, est détenu de manière illégale et arbitraire dans un centre de détention pour migrants en Serbie, et risque d’être expulsé vers la Turquie, en dépit de la décision d’un tribunal serbe ordonnant qu’il ne soit pas expulsé. Le 12 février, il a entamé une grève de la faim pour protester contre son maintien en détention au centre de Padinska Skela, et a déclaré son intention de la poursuivre jusqu’à sa libération. -
rapport d'Amnesty 2023/24 RÉSUMÉ RÉGIONAL AMÉRIQUES
L’espace civique a continué de se restreindre dans les Amériques, ce qui mettait en péril les avancées en matière de droits humains réalisées au cours des décennies précédentes. -
AMNESTY INTERNATIONAL REPORT 2023/24 RÉSUMÉ RÉGIONAL AFRIQUE
Le regain de violence au Soudan était représentatif de l’immense souffrance des civil·e·s pris dans des conflits armés dans la région et du mépris total des parties aux conflits à l’égard du droit international humanitaire. Les informations faisant état de nombreuses victimes civiles étaient fréquentes et choquantes, en particulier compte tenu de l’ampleur des attaques ciblées et aveugles. Cette année encore, les violences sexuelles ont été un élément caractéristique des conflits armés. -
Rapport annuel d'Amnesty 2023/24 Résumé régional Asie-Pacifique
De modestes avancées ont été enregistrées dans plusieurs pays concernant les droits des femmes et des personnes LGBTQIA+. Une nouvelle loi réprimant la torture et les disparitions forcées a été adoptée en Thaïlande et l’application automatique de la peine capitale a été abolie en Malaisie. Globalement, cependant, la situation en matière de droits humains restait sombre dans la région Asie-Pacifique. -
Rapport annuel d'Amnesty 2023/24 Résumé régional Moyen-Orient et Afrique du Nord
L’escalade dévastatrice de la violence dans le conflit israélo-palestinien a eu de profondes répercussions dans l’ensemble de la région et dans le monde entier. Outre plusieurs conflits armés présents ou passés, la région est également aux crises économiques et aux catastrophes naturelles ou liées au changement climatique, à une forte répression des personnes exprimant des revendications politiques, sociales ou économiques, ainsi que des différentes minorités. -
Rapport annuel d'Amnesty 2023/24 Effondrement sans précédent du droit international
Le monde récolte les conséquences de l’escalade des conflits et de l’effondrement du droit international. Le développement rapide de l’intelligence artificielle (IA) risque d’accélérer l’affaiblissement de l’État de droit. C’est le constat que fait Amnesty International lors du lancement de son rapport annuel, qui évalue l’état des droits fondamentaux dans 155 pays. -
Rapport annuel d'Amnesty 2023/24 La Suisse ne se presse pas pour faire respecter le droit international
L'examen périodique universel a montré que la Suisse n’était toujours pas disposée à réaliser les investissements nécessaires coordonner la mise en œuvre des obligations internationales en matière de droits humains, et qu’elle était toujours peu empressée de veiller à la pleine conformité des initiatives populaires avec le droit international relatif aux droits humains avant de les soumettre au vote. -
Rapport annuel d'Amnesty 2023/24 RÉSUMÉ RÉGIONAL EUROPE ET ASIE CENTRALE
Les libertés et les droits fondamentaux ont cette année encore été constamment remis en question en Europe. Un certain nombre d’États ont persécuté les défenseur·e·s des droits humains, réprimé la dissidence et sanctionné le droit à la liberté d’expression et la diffusion d’informations indépendantes. -
Session de Printemps du 26 février au 15 mars Droits humains au Parlement: Printemps 2024
Les recherches d'Amnesty International montrent comment les forces armées israéliennes bafouent le droit international humanitaire et exterminent des familles entières en toute impunité. Le Conseil de sécurité de l'ONU est toujours bloqué et, au lieu de fournir une aide humanitaire rapide et non bureaucratique, plusieurs pays l'ont même limitée. -
Personnes LGBTQIA+ dans le processus d’asile Obligées de rester discrètes
Les demandes d'asile de personnes LGBTI+ qui déclarent avoir été persécutées dans leur pays d'origine en raison de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre et qui ont fui pour cette raison peuvent être rejetées en Suisse par le biais de ce que l'on appelle une demande discrète. Le refus de la demande d'asile est motivé par le fait que la personne devrait cacher son orientation sexuelle ou son identité de genre dans son pays d'origine afin d'échapper à une persécution (pénale). Ainsi, il n'y aurait pas de persécution pertinente pour le droit d'asile et donc pas de droit à l'asile en Suisse. -
MAGAZINE AMNESTY Mars 2024 – Sahel Une population prise en étau
Dans le sud-est du Niger, la violence de groupes terroristes rivaux prive la population de ses moyens de subsistance. Une situation encore aggravée par le réchauffement climatique. -
Action lettre: Belgique / Action terminée Des demandeurs·euses d’asile sont privés d’abri
En Belgique, au moins 3'000* personnes demandant l’asile sont dans le dénuement du fait de l’incapacité du gouvernement belge à leur fournir un abri et des biens et services de première nécessité. Beaucoup n’ont d’autre choix que de dormir dans la rue ou sous des tentes de fortune. Alors que l’hiver approche et que les températures chutent en-dessous de zéro, le gouvernement fédéral doit activer sans attendre le «plan de dispersion» afin de fournir un abri adéquat aux personnes en quête de protection et de s’acquitter des obligations internationales relatives aux droits humains incombant à la Belgique. (*chiffre mise à jour fin janvier 2024) -
Rencontre annuelle du Réseau asile et migration La société civile sous pression: stratégies contre l'érosion du droit d'asile
Lors de la rencontre annuelle du Réseau asile et migration d'Amnesty Suisse, samedi 20 janvier, des activistes et des spécialistes ont discuté des défis de l'engagement volontaire dans le domaine de l'asile. Avec comme points forts de cette rencontre, les attaques croissantes contre le droit d'asile ainsi que les mesures de protection des personnes particulièrement vulnérables, comme les requérants d'asile mineurs non accompagnés (RMNA), les victimes de violence sexospécifique ou les membres de la communauté LGBTQIA+. -
Rencontre du réseau asile et migration La société civile sous pression - les défis dans le domaine de l'asile
La rencontre annuelle 2024 du réseau asile et migration d'Amnesty International a pour objectif de permettre l'échange de connaissances et la mise en réseau de toutes les personnes intéressées par les questions liées à l'engagement de la société civile dans le domaine de l'asile et de la migration en Suisse et dans le monde. -
Action lettre: Égypte / Délai expiré Les soudanais·e·s se trouvant en égypte risquent d’être arrêtés et expulsés
Depuis septembre 2023, les autorités égyptiennes ont procédé à des arrestations massives de réfugié·e·s soudanais, entrés ou restés dans le pays de manière irrégulière. Les personnes arrêtées ont été privées de liberté pendant des périodes allant de quelques jours à six semaines, dans des conditions de détention cruelles et inhumaines, avant d’être expulsées de force vers le Soudan sans évaluation individuelle des risques à leur retour, ni possibilité de demander l’asile ou de contester les décisions d’expulsion. -
UE : réformes du Pacte européen sur la migration Souffrances accrues aux frontières !
Les réformes du Pacte européen sur la migration et l’asile convenues le 20 décembre 2023 par l’Union européenne (UE) entraineront une régression de la législation européenne relative à l’asile dans les décennies à venir et accroîtront les souffrances humaines. -
Suisse : Session spéciale Afghanistan au Parlement L’accueil des femmes afghanes ne doit pas être remis en question !
Cet été, le Secrétariat d’État aux migrations (SEM) a décidé que les femmes et filles afghanes pouvaient bénéficier du statut de réfugié étant donné la persécution systématique qu’elles subissent en Afghanistan. Cette pratique, confirmée par un arrêt rendu par le Tribunal administratif fédéral en novembre, a été remise en cause par plusieurs motions. Ces dernières seront discutées dès demain au Parlement lors d’une Session spéciale Afghanistan. Amnesty International recommande vivement de rejeter ces motions et appelle à la poursuite de la pratique actuelle du SEM concernant les Afghan·ne·x·s. -
Interview culturelle Comment l’exil déshumanise
À l’affiche du festival genevois «Palestine, filmer c’est exister», «Notes on displacement» du réalisateur Khaled Jarrar suit Nadira, 79 ans, dans son exil forcé. Un écho à l’histoire de milliers de Palestinien·ne·x·s. -
Action lettre: Pakistan / Action terminée Il faut cesser d’expulser les réfugié·e·x·s afghans
Le 3 octobre 2023, le gouvernement pakistanais a annoncé sa décision de renvoyer les réfugié·e·x·s afghans non enregistrés en Afghanistan, vers le danger, d’ici au 1er novembre, en violation flagrante de ses obligations internationales. Depuis début novembre, des Afghan·e·s ont été expulsés et la répression se durcit contre les réfugié·e·x·s afghans non enregistrés, ce qui se traduit par des arrestations arbitraires, des détentions illégales et la séparation des familles, y compris les mineur·e·s, les femmes et les personnes âgées. Aucune autorisation n’a été accordée pour se rendre dans les centres de détention récemment créés aux fins d’expulsion. En outre, des habitations de réfugié·e·x·s afghans ont été démolies et des biens saisis. Le gouvernement du Pakistan doit cesser sur-le-champ d’arrêter, d’expulser et de harceler les réfugié·e·x·s afghans. -
Action lettre: Perou / Action terminée Des personnes réfugiées risquent d’être expulsées
Les ressortissant·e·s vénézuéliens au Pérou ne peuvent plus demander une protection temporaire, qui permettait aux réfugié·e·x·s de régulariser leur situation migratoire. Le 14 novembre, le gouvernement péruvien a publié le décret-loi n° 1582, qui ordonne l’expulsion de toutes les personnes étrangères en situation irrégulière et met donc en danger les très nombreux Vénézuélien·ne·s qui n’ont pas pu demander une protection temporaire avant l’échéance du 10 novembre. La procédure en 24 heures qui a été établie pour ces expulsions est incompatible avec les garanties d’une procédure régulière, avec le principe de «non-refoulement» et avec l’obligation internationale qui incombe au Pérou de protéger les personnes ressortissantes du Venezuela. Amnesty International demande au gouvernement péruvien d’abroger immédiatement ce décret.
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