2020
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COVID-19 Plus de 7000 professionnel·le·s de santé sont morts du COVID-19
Les nouvelles recherches menées par Amnesty International montrent qu’au moins 7 000 membres des professions de santé sont morts dans le monde des suites d’une infection au COVID-19. Au moins 1 320 cas confirmés de décès de personnes travaillant dans le secteur de la santé ont été enregistrés au Mexique, plus que dans tout autre pays au monde, d’après les informations dont dispose Amnesty International. -
Crise du coronarivus Malgré la menace, des défenseur·e·s des droits humains croupissent en prison
Des gouvernements qui ont été loués pour avoir relâché des prisonnières et des prisonniers en raison de l’épidémie de COVID-19 sur leur territoire, ont exclu les défenseur·e·s des droits humains de ces mesures et continuent de procéder à de nouvelles arrestations de militant·e·s, de journalistes et d’opposant·e·s. -
G20 Les mesures post-COVID-19 doivent intégrer la lutte contre la pauvreté, les inégalités et la crise climatique
Amnesty International demande aux leaders du G20 de prendre des mesures inédites afin de lutter contre les inégalités dans le monde qui alimentent la crise du COVID-19 et la crise climatique – deux des principales menaces de notre époque pour les droits humains. -
Covid-19 Un personnel de santé en danger face à la pandémie
Les gouvernements doivent être tenus responsables des décès de personnes travaillant dans le secteur de la santé et exerçant des métiers essentiels qu'ils n’ont pas protégées contre la pandémie de COVID-19. C’est le constat que dresse Amnesty International lundi à l’occasion du lancement d’un rapport retraçant les expériences de professionnel·le·s de santé du monde entier. En Suisse, l’organisation appelle le Conseil fédéral à mandater une évaluation indépendante de la gestion du COVID-19. -
Action par e-mail terminée Good News: abandon des poursuites contre les syndicalistes
Le 2 juin 2020, la police malaisienne a dispersé une manifestation pacifique organisée contre une entreprise de services de nettoyage pour les hôpitaux. Les revendications portaient sur le traitement inique de syndicalistes par cette entreprise et sur le manque d’équipements de protection individuelle (EPI) pour le personnel de propreté.
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