2020
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Action lettre terminée - Maroc Un journaliste soumis à un harcèlement juridique
Le 29 juillet 2020, le journaliste marocain Omar Radi a été inculpé pour «atteinte à la sécurité intérieure de l’État» et pour «viol». Les autorités marocaines le harcèlent depuis la publication en juin 2020 d’un rapport d’Amnesty International révélant qu’elles l’avaient illégalement espionné au moyen de son téléphone. Omar Radi a dénoncé ouvertement le bilan du gouvernement en matière de droits humains, et il a enquêté sur la corruption des autorités. -
Hong Kong Il faut libérer les militant·e·s de l’opposition incarcérés
Le 2 décembre 2020, les militant·e·s de l’opposition Joshua Wong, Agnes Chow et Ivan Lam ont été condamné·e·s à la prison suite aux manifestations qui ont eu lieu devant le quartier général de la police de Hong Kong en 2019. -
Répression en Égypte La diplomatie suisse doit faire preuve de courage
Amnesty International salue la libération des trois militants des droits humains, qui avaient été arbitrairement arrêtés en Égypte en lien avec une rencontre à laquelle participait un diplomate suisse. L’organisation exige que la diplomatie suisse assume ses responsabilités et continue à s’engager, ce également publiquement, pour la sécurité et les droits de ses partenaires. -
Viêt-Nam Des géants de la technologie complices de la répression exercée à grande échelle
Les géants de la technologie Facebook et YouTube se permettent de devenir les instruments de la censure et du harcèlement exercés par les autorités vietnamiennes contre la population dans le pays. Cela ouvre des perspectives très inquiétantes quant à la façon dont ces entreprises risquent de plus en plus d’agir dans les pays répressifs. -
Action lettre terminée - Égypte Répression contre l'Initiative égyptienne pour les droits de la personne (EIPR)
Entre le 15 et le 19 novembre 2020, les forces de sécurité égyptiennes ont arrêté Mohamed Basheer, Karim Ennarah et Gasser Abdel-Razek, cadres du personnel de l’Initiative égyptienne pour les droits de la personne (EIPR), une ONG égyptienne indépendante de défense des droits humains. Ils sont maintenus en détention arbitraire dans l’attente des conclusions d’enquêtes sur des accusations infondées, notamment de «terrorisme», engagées uniquement à titre de représailles pour le travail de défense des droits humains de l’EIPR.
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