Queeramnesty et Amnesty International, en collaboration avec d'autres organisations, lancent un sondage pour saisir l'ampleur et les formes de la violence queerphobe en Suisse.
Grâce aux résultats de ces enquêtes, nous souhaitons attirer l'attention sur les problèmes existants, développer des recommandations d'action concrètes et exercer une pression politique et sociale afin de créer une société plus juste et plus sûre pour touxtes. Les résultats des notre enquête et de celle sur l'acceptation sociale des personnes LGBTQIA+ au sein de la population générale, menée en parallèle par l’institut de sondage gfs_bern, seront publiés fin 2024 dans un rapport de gfs_bern et sur les sites web des organisations partenaires (Queeramnesty, InterAction Suisse, Transgender Network Switzerland (TGNS), Organisation Suisse des Lesbiennes (LOS), Pink Cross, Dialogai, Amnesty Suisse).
PARTICIPEZ!
Du 18 septembre au 12 octobre, participez à l'enquête sur la prévalence de la violence et de la discrimination à l'égard des personnes queer en Suisse.
Cette enquête s'adresse aux personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres, intersexuées, non-binaires et autres personnes de genres divers (LGBTQIA+).
Vous pouvez également transmettre ce lien à toutes les personnes intéressées: www.gfsbern.ch/lgbtiq
Votre contribution à ce sujet important est très appréciée. Nous attirons votre attention sur le fait que le sondage contient des questions sur des expériences personnelles de discrimination et de violence qui peuvent être émotionnellement difficiles. Veuillez choisir un moment approprié pour participer, lorsque vous vous sentez calme et en sécurité. Vous pouvez quitter le questionnaire à tout moment si vous ne vous sentez pas à l'aise. Votre santé émotionnelle et mentale est importante pour nous. Le questionnaire prend environ 25 minutes à remplir. Les réponses seront traitées de manière anonyme, afin que personne ne puisse vous identifier ou relier les résultats à votre personne. Nous vous remercions d'avance pour votre participation.
Le questionnaire a été développé par l'Agence des droits fondamentaux (FRA) et il est régulièrement mené dans les pays de l’union européenne.