Lettre ouverte Protégeons les droits des personnes au front de la lutte contre le coronavirus
ACTION TERMINÉE
Alors que les cas de contamination au coronavirus ne cessent d’augmenter, près d’une vingtaine de syndicats, d’associations et d’ONG et plus de 1’500 professionnel·le·s de la santé réclament davantage de transparence et un suivi réel de la situation du personnel soignant face à la pandémie. Unia, le SSP, l’ASI, la fédération suisse des sages-femmes, Soins d’urgence et l’association des médecins assistants et chefs de clinique figurent parmi les signataires d’une lettre ouverte lancée par Amnesty International le 18 août dernier et remise le 22 octobre dernier au Conseil fédéral.
Nos revendications:
- Nous demandons au Conseil fédéral de mandater une évaluation indépendante de l’impact de la crise sur le personnel de la santé et des mesures prises pour y répondre.
- De plus, étant donné la surreprésentation des femmes et des personnes d’origine étrangères dans ces professions, nous demandons à ce que l’évaluation intègre une perspective de genre et une perspective liée à l’origine du personnel dans son analyse.
Les organisations suivantes ont déjà signé la lettre: SSP, UNIA, Syna, ASI, FSSF, asmac, SOINS D'URGENCE SUISSE, GIC SwissAnp, SANTÉ SEXUELLE SUISSE, INSOS Suisse, Coordination post Beijing des ONG Suisses, FPS, Femmes de Paix Autour du Monde, cfd, Fédération Solidarité femmes de Suisse et du Liechtenstein, ADF Suisse, frbb et FemWiss.