2022
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Droit de manifester
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Droit de manifester Amnesty International lance une campagne mondiale
Le droit de manifester est actuellement la cible d’une menace croissante et sans précédent dans toutes les régions du monde. C’est ce qu’affirme Amnesty International, à l’occasion du lancement d’une nouvelle campagne mondiale destinée à contrer les efforts redoublés que certains États déploient pour saper ce droit fondamental. -
Action lettre terminée Équateur Répression des protestations lancés par des organisations indigènes
Leónidas Iza, président de la Confédération des nationalités indigènes de l’Équateur (CONAIE), a été arrêté le 13 juin dans la province du Cotopaxi. Il a été détenu au secret et inculpé de «blocage des services publics», puis relâché le soir même. Sa détention pourrait avoir été arbitraire et les poursuites pénales à son encontre pourraient constituer une incrimination du fait de manifester. -
Source de conflit Le capitaine du Cahabón
Détenu pour avoir protesté contre la construction d’une usine hydroélectrique au Guatemala, Bernardo Caal Xol vient d’être libéré. Portrait d’un homme à la confluence des luttes, engagé pour l’environnement et la communauté maya q’eqchi’. -
Israël et territoires palestiniens occupés Augmentation des homicides illégaux et de la répression
Les autorités israéliennes doivent mettre fin aux homicides illégaux, aux blessures volontaires, aux arrestations arbitraires, aux actes de tortures et autres mauvais traitements, aux persécutions et aux sanctions collectives à l’encontre des Palestiniens et Palestiniennes, notamment de nombreux enfants. -
Action lettre terminée - Slovénie Des manifestant·e·x·s forcés de payer les frais de maintien de l'ordre
Le metteur en scène de théâtre slovène Jaša Jenull fait l’objet de demandes visant à lui faire assumer des frais exorbitants de maintien de l’ordre. Il avait participé à des manifestations pour dénoncer les restrictions aux droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique imposées dans le contexte de la pandémie. -
Rapport 2021/22 d'Amnesty International Analyse mondiale sur trois axes
En 2021, les droits humains ont une fois de plus subi les affronts de gouvernements et de groupes privés. Le rapport d'Amnesty International se penche cette année sur trois grands axes: à savoir les inégalités liées à la pandémie de COVID-19, aux restrictions des libertés dans l'espace civique ainsi qu'au sort réservé aux personnes migrantes dans les pays du Nord. -
Russie Protester contre la guerre ne doit pas être puni
Le 14 mars, la journaliste Marina Ovsiannikova a interrompu un programme d’information en direct pour protester contre l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Elle a été arrêtée et détenue au secret pendant près de 15 heures après son acte de dissidence, avant d’être libérée et condamnée à une amende. -
New York La reconnaissance faciale renforce les méthodes racistes de contrôle et de fouille de la police
Les habitant·e·s de New-York qui vivent dans des quartiers où le risque de contrôle et de fouille (« stop-and-frisk ») par la police est plus élevé, sont également plus exposé·e·x·s aux technologies de reconnaissance faciale intrusives, révèlent de nouvelles recherches menées par Amnesty International et ses partenaires. -
Kazakhstan La crise ne doit pas justifier des violations des droits fondamentaux
Accès à l’information fortement restreint, bilan des victimes inconnu, arrestations arbitraires de journalistes et de militant·e·s détenu·e·s dans des conditions douteuses, malgré une relative accalmie, la situation au Kazakhstan demeure préoccupante. Amnesty International demande aux autorités de libérer les personnes qu’elles détiennent et d’enquêter sur les violations des droits humains signalées.
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