2018
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Projet Dragonfly Google ne doit pas céder à la Chine en matière de censure
Google a l'intention de lancer une application de recherche respectant la censure sur le marché chinois, ce qui pourrait compromettre définitivement la confiance que portent les utilisateurs à l'entreprise informatique. Le lancement de cette application constituerait un dangereux précédent pour les entreprises informatiques qui permettent aux gouvernements de violer les droits humains. -
Oui aux détectives des assurances N'oublions pas les promesses concernant la protection de la sphère privée !
Le peuple suisse a approuvé la révision de la loi sur le droit des compagnies d’assurances sociales, donnant ainsi le feu vert à la surveillance des personnes soupçonnées de fraude aux assurances sociales. Amnesty demande aux assureurs de tenir les promesses qu'ils ont faites lors de la campagne et de ne pas négliger la protection de la sphère privée lors des observations. -
Votation du 25 novembre 2018 Dix arguments contre la loi sur la surveillance des assuré·e·s
Le nouvel article du droit des assurances sociales relatif à la surveillance des assurés·e·s suscite de sérieuses critiques de la part d’éminents juristes. L’un des plus réputés, l’ancien juge fédéral Niccolò Raselli, démontre en dix arguments, aussi éclairants que juridiquement fondés, pourquoi les compétences octroyées aux assureurs en matière de surveillance vont trop loin et constituent une menace pour la sphère privée de chacun·e d’entre nous. -
Suisse Lancement de la campagne référendaire «Non à la surveillance arbitraire des assuré·e·s»
La campagne pour un référendum contre la surveillance arbitraire des bénéficiaires des assurances sociales a été lancée à Lucerne, devant le siège de la caisse maladie CSS. Amnesty International soutient cette campagne et demande que la protection de la vie privée ne soit pas sacrifiée aux intérêts des assureurs. -
Surveillance de masse Des militants remportent une bataille contre la surveillance de masse exercée par le Royaume-Uni
La Cour européenne des droits de l’homme a décidé le 13 septembre que la législation du Royaume-Uni permettant la surveillance de masse viole les droits à la vie privée et à la liberté d'expression.
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