2009
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ONU Il faut des actions concrètes concernant les crimes contre l'humanité commis par la Chine au Xinjiang
La déclaration faite au Conseil des droits de l'homme des Nations unies à Genève par un groupe transrégional de 45 États dont la Suisse concernant les graves violations des droits humains commises par la Chine au Xinjiang doit ouvrir la voie à une action concrète, a déclaré Amnesty International aujourd'hui, en réitérant son appel à mener une enquête internationale indépendante. -
Chine Crimes contre l’humanité au Xinjiang
Les Ouïghours, les Kazakhs et les autres minorités ethniques à majorité musulmane de la région autonome ouïghoure du Xinjiang (Chine) sont victimes d’emprisonnement, de torture et de persécutions à grande échelle orchestrés par l’État, qui s’apparentent à des crimes contre l’humanité. -
Action lettre terminée - Chine/Xinjiang Des personnes «disparues» et détenues arbitrairement
Plus de 60 personnes appartenant à des groupes ethniques à majorité musulmane auraient été internées dans des camps ou condamnées sans procès équitable et envoyées en prison dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang. Ces cas sont représentatifs du nombre très élevé d'hommes et de femmes - peut-être un million, voire plus - qui auraient été placés en détention dans la région depuis 2017. -
Chine: Action lettre terminée pour Gao Zhisheng Avocat spécialiste des droits humains en détention au secret depuis 4 ans
Gao Zhisheng, avocat spécialiste des droits humains, a eu 57 ans le 20 avril. Il s’agit du quatrième anniversaire qu’il a passé en détention au secret. Il faut impérativement continuer à exercer des pressions sur les autorités afin que ce soit sa dernière année comme détenu. -
Yémen Des détenus sont torturés et maintenus en détention arbitraire, puis contraints à l’exil
Au Yémen, les autorités houthies de facto ne doivent pas se servir de manière arbitraire des prisonniers comme de pions sur l’échiquier des négociations politiques, écrit Amnesty International dans un nouveau rapport. -
Rapport 2020/21 d'Amnesty International Résumé régional Asie-Pacifique
Le Covid-19 a exacerbé les problèmes quant à la situation des droits humains dans la région Asie-Pacifique. Cette région a été la première touchée par la pandémie, les premiers cas ayant été enregistrés en décembre 2019 à Wuhan, en Chine. Quand les autorités chinoises ont réprimandé le personnel de santé qui avait tiré la sonnette d’alarme au sujet d’un nouveau virus, il s’agissait d'un cas parmi tant d’autres où un gouvernement utilisait la pandémie comme prétexte pour museler des voix critiques et restreindre indûment le droit à la liberté d’expression. -
Rapport 2020/21 d’Amnesty International Résumé régional Europe et Asie centrale
Les réponses apportées par les gouvernements à la pandémie de COVID-19 ont mis en péril toute une série de droits en Europe et en Asie centrale et ont souligné le coût humain de l’exclusion sociale, des inégalités et des mesures abusives prises par les États. Nombre de gouvernements se sont en outre servis de la pandémie comme d’un écran de fumée, l’utilisant comme prétexte pour accaparer le pouvoir, réprimer les libertés et faire fi de leurs obligations en matière de droits humains. -
Rapport 2020/21 d’Amnesty International Résumé régional Amériques
Alors que les Amériques étaient déjà, début 2020, la région présentant les plus grandes disparités, la pandémie de COVID-19 a davantage encore creusé les inégalités. Les populations marginalisées ont figuré parmi les plus durement frappées et l’on s’attendait à une montée en flèche des taux de pauvreté. Les politiques adoptées par les gouvernements pour faire face à cette crise ont eu de profondes répercussions sur les droits humains et, souvent, des conséquences désastreuses pour de très nombreuses personnes. -
Rapport 2020/21 d'Amnesty International Résumé régional Moyen-Orient et Afrique du Nord
Pour faire face à la crise sanitaire du Covid-19, de nombreux gouvernements ont pris des mesures limitant excessivement les droits humains. Limitation de la liberté d'expression, manque de protection du personnel de santé, licenciements abusifs et discriminations envers les LGBTI : découvrez les problèmes qui ont frappé le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord en 2020. -
Liban Réfugiés syriens arbitrairement détenus pour soupçon de terrorisme
Les forces de sécurité libanaises ont perpétré des violations choquantes contre des personnes réfugiées en provenance de Syrie détenues, souvent de manière arbitraire, parce que soupçonnées d’infractions liées au terrorisme, dénonce Amnesty International dans un nouveau rapport. Elles ont employé certaines des techniques de torture atroces utilisées dans les prisons syriennes les plus tristement renommées. -
Chine Les parents d’enfants ouïghours disparus décrivent l’horreur de la séparation
Les parents exilés d’enfants ouïghours détenus dans des «orphelinats» de l’État dans la région chinoise du Xinjiang décrivent les tourments de la séparation dans un nouveau rapport. -
Syrie Dix ans de conflit, toujours pas de justice
Les membres du Conseil de sécurité de l’ONU disposent du pouvoir et du mandat requis pour aider les civils en Syrie et, pourtant, ils restent paralysés. Résultat : une décennie que la population souffre. -
Égypte: Action lettre terminée pour Ibrahim Ezz el Din Préoccupations pour la santé d'un prisonnier d'opinion
Ibrahim Ezz el Din, est détenu de façon arbitraire depuis juin 2019. Amnesty International le considère comme un prisonnier d’opinion, détenu uniquement en raison de ses activités en faveur des droits humains. La santé d'Ibrahim Ezz el Din s'est détériorée en prison. -
Arabie saoudite Le jugement confirmant la condamnation de Loujain al Hathloul est une injustice flagrante
La décision rendue le 10 mars 2021 par le Tribunal pénal spécial d’Arabie saoudite a confirmé la condamnation de la défenseure des droits des femmes Loujain al Hathloul à l’issue d’un procès manifestement inique. Condamnée en décembre 2020 à cinq ans et huit mois d’emprisonnement, Loujain al Hathloul avait été libérée de prison en février 2021, après près de trois ans passés derrière les barreaux. -
Action lettre terminée - Chine Une militante détenue pour avoir dénoncé des actes de torture
La militante féministe et défenseure des droits humains Li Qiaochu a été emmenée par la police le 6 février 2021. Son arrestation est sans doute liée à ses initiatives visant à médiatiser la torture et les mauvais traitements infligés au centre de détention du canton de Linshu. Li Qiaochu est détenue au secret depuis un mois et les craintes sont vives qu’elle ne soit victime de torture ou d'autres mauvais traitements, car elle n'est toujours pas autorisée à communiquer avec sa famille ni l'avocat de son choix. -
Bélarus Les femmes en première ligne de la lutte pour les droits humains
Des femmes ayant joué un rôle prépondérant dans les manifestations au Bélarus sont la cible de représailles et de menaces, a déclaré Amnesty International lundi 8 mars. -
Action lettre terminée - Irak Des journalistes doivent être libérés immédiatement
Le 16 février, les journalistes et militants Sherwan Sherwani, Guhdar Zebari, Hariwan Issa, Ayaz Karan et Shvan Saeed ont été condamnés à six ans d’emprisonnement à l’issue d’un procès inique dans la région du Kurdistan irakien. Ces cinq journalistes observent actuellement une grève de la faim dans l’attente de leur jugement en appel, qui devrait être rendu d’ici le 16 mars. Ils doivent être libérés immédiatement et sans condition. -
Éthiopie / Érytrée Le massacre commis par les troupes érythréennes au Tigré serait un crime contre l'humanité
Les 28 et 29 novembre 2020, les troupes érythréennes combattant dans l'État éthiopien du Tigré ont systématiquement tué des centaines de civils non armés dans la ville d'Axoum, dans le nord du pays, ouvrant le feu dans les rues et menant des raids de maison en maison dans le cadre d'un massacre qui pourrait constituer un crime contre l'humanité, a alerté Amnesty International dans un nouveau rapport. -
Allemagne / Syrie Condamnation d’un représentant de l’État syrien pour crimes contre l’humanité
La haute cour régionale de Coblence (Allemagne) a prononcé une condamnation à quatre ans et demi de prison contre Eyad al Gharib, un membre des forces de sécurité syriennes, après l’avoir reconnu coupable de crimes contre l’humanité pour sa complicité dans la torture de manifestant·e·s arrêtés à Damas. -
Action lettre terminée - Tchétchénie / Russie Deux activistes LGBTQIA+ tchétchènes victimes de disparition forcée
Salekh Magamadov et Ismaïl Issaïev ont été enlevés par les forces de police, avant d'être transférés en Tchétchénie. Ces deux personnes avaient fui la Tchétchénie en 2020, à la suite d’une détention arbitraire, et elles avaient dénoncé des actes de torture perpétrés à leur encontre. Elles craignaient d’autres représailles, notamment en raison de leur orientation sexuelle et de leur identité de genre, réelles ou supposées.
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