2012
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Rapport 2022/23 d'Amnesty International Résumé régional Amériques
Trois ans après l’apparition du COVID-19, les Amériques subissaient toujours les effets dévastateurs de la pandémie. Faute d’action efficace des autorités, des millions de personnes étaient privées d’accès aux droits fondamentaux à l’alimentation, à l’eau et à la santé. Les systèmes de santé restaient par ailleurs gravement sous- financés. -
Rapport 2022/23 d'Amnesty International Résumé régional Moyen-Orient et Afrique du Nord
Les gouvernements de la région n’ont pas apporté de réponse adaptée aux conséquences désastreuses de l’aggravation de la situation économique, exacerbées par des événements internationaux tels que la guerre en Ukraine et des facteurs locaux comme les conflits et les catastrophes naturelles liées au climat, sur les droits fondamentaux de millions de personnes à l’alimentation, à l’eau, au logement et aux soins médicaux. -
Rapport 2022/23 d'Amnesty International Résumé régional Asie-Pacifique
La situation en matière de droits humains dans la région Asie-Pacifique a suscité quelques timides lueurs d’espoir: de modestes avancées ont été enregistrées dans plusieurs pays concernant les droits des femmes et des personnes LGBTI, une nouvelle loi réprimant la torture a été adoptée au Pakistan et la peine capitale a été abolie en Papouasie-Nouvelle-Guinée. -
Iran – Action urgente / Action lettre terminée Plusieurs jeunes hommes baloutches risquent d’être exécutés
Quatre jeunes hommes baloutches – Ebrahim Narouie, Kambiz Kharout, Mansour Dahmardeh et Shoeib Mirbaluchzehi Rigi – risquent d’être exécutés en lien avec des manifestations qui ont eu lieu dans la province du Sistan-et-Baloutchistan. Ils ont été condamnés à mort à l’issue de procès iniques s'appuyant sur des «aveux» obtenus au moyen de la torture. Deux autres hommes baloutches – Mansour Hout et Nezamoddin Hout – vont être rejugés pour des infractions emportant la peine capitale, là encore en lien avec ces manifestations. -
Iran Les mineur·e·s détenu·e·s violemment torturé·e·s
Les forces de renseignement et de sécurité iraniennes commettent de terribles actes de torture. Elles infligeant coups, flagellations, décharges électriques, viols et autres violences sexuelles à des manifestant·e·s mineurs parfois âgés de seulement 12 ans dans le but d’écraser leur participation au mouvement national de contestation.
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