Annees
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Jani Silva, Colombie En danger de mort parce qu’elle protège l’Amazonie
Jani Silva défend l'environnement et les droits des personnes qui vivent dans l'Amazonie colombienne. Elle s’est notamment opposée à une entreprise qui extrait du pétrole dans la région et empoisonne les sources d'eau de la population locale. Son engagement a eu des conséquences terribles : elle est aujourd’hui persécutée et menacée de mort. -
Nassima al Sada, Arabie Saoudite Emprisonnée car elle défend les droits des femmes
Nassima al Sada a passé une grande partie de sa vie à faire campagne pour la liberté des femmes en Arabie saoudite. Aujourd’hui, elle a perdu la sienne. Aux côtés de 13 autres militantes de premier plan, elle est poursuivie pour avoir revendiqué le droit des femmes à conduire et à exercer leurs activités quotidiennes sans l’autorisation d’un « tuteur » masculin. -
Burundi Liberté pour Germain Rukuki
Germain est un mari et un père avant tout. Mais ce défenseur exemplaire des droits humains n’a jamais vu son plus jeune fils. Ce père de trois enfants est enfermé dans une cellule de prison au Burundi, condamné à 32 ans de prison sur la base de fausses accusations à l’issue d’un procès entaché d’irrégularités. « Pendant combien de temps mon mari doit-il supporter cette injustice ? » demande sa femme, Emelyne. Demandez sa libération ! -
Colombie Protection pour Jani Silva
Jani Silva a consacré sa vie à protéger l'Amazonie. Elle s'engage pour l’environnement et les droits des personnes qui vivent dans la Perla Amazónica, une réserve paysanne du Putumayo. À cause de son travail, elle est aujourd'hui en danger. Elle a été suivie, visée par des actes d’intimidation venant d’inconnus et menacée de mort. Demandez des mesures de protection pour Jani Silva! -
Turquie Abandonner les poursuites contre Melike Balkan et Özgür Gür
Depuis le début de leurs études, Melike Balkan et Özgür Gür défendent les droits des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres et intersexuées (LGBTI*) au sein de leur université. En tant que membres du groupe de solidarité LGBTI*, ces deux personnes organisent avec succès depuis des années des marches des fiertés sur le campus. Mais en mai 2019, l’université a interdit la marche prévue et appelé la police pour disperser un sit-in pacifique. Alors qu’ils/elles ne faisaient qu’exercer leur droit de manifester pacifiquement, ils/elles font aujourd’hui l’objet de poursuites. Dites à la Turquie d’abandonner toutes les charges retenues contre ces personnes!
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